Catégorie : Vernier

  • Minute Commune – édition d’automne 2022

    Minute Commune – édition d’automne 2022

    Nicola D’Amico, président du Parti socialiste de Vernier

    Chères et chers habitant·e·s,

    Cette année, j’ai eu l’honneur de reprendre les rênes du PS Vernier. Je succède ainsi à Gabrielle Falquet, que vous connaissez sans doute aussi comme ancienne conseillère administrative. Je tiens ici à la remercier vivement de son engagement et de tout ce qu’elle a accompli, pour Vernier et pour le PS!

    Cette Minute Commune, plus riche qu’à son habitude, est consacrée notamment à l’engagement du PS d’être à votre écoute et de répondre à toutes vos questions. Ce numéro spécial vous présente les actions menées par notre groupe au Conseil municipal et au Conseil administratif.

    En 2023, l’ambition du PS sera grande pour Vernier, pour Genève et pour la Suisse. Nous élirons à deux reprises celles et ceux qui défendront au mieux les intérêts de la population, au niveau cantonal ainsi qu’au fédéral.

    Le PS œuvre sans relâche pour une société plus solidaire et sans privilèges. Les temps actuels nous donnent raison, tant les fins de mois deviennent de plus en plus tendues pour la classe moyenne et pour toutes celles et ceux qui se sentaient jusqu’ici à l’abri. La crise et les inégalités croissantes poussent de nombreuses familles et des seniors vers la précarité ! Elle exclut des jeunes du marché du travail. C’est pourquoi au PS, nous avons la certitude qu’avec une nouvelle majorité au parlement cantonal, les choses peuvent changer. C’est cet élan vers une société plus juste que nous voulons porter. Et c’est avec vous, toutes les habitantes et tous les habitants, que le PS construit cette nouvelle voie!

    Nicola d’Amico
    Nouveau président du Parti socialiste de Vernier

  • [COMMUNIQUÉ] Dépôt des signatures du référendum contre la fin de la publicité commerciale sur l’espace public

    Le Parti socialiste de Vernier et les Vert-e-s de Vernier prennent acte du dépôt de signatures du comité référendaire contre la décision du Conseil municipal visant à interdire l’affichage à des fins commerciale sur le territoire de la ville de Vernier.

    Contrairement au comité référendaire, les Vert-e-s et les Socialistes de Vernier restent entièrement convaincu-e-s du bien-fondé de cette mesure pour la population verniolane. La délibération et le règlement qui ont été votés par la majorité du Conseil municipal est un geste fort en faveur de la valorisation de l’espace public, et représente également un jalon supplémentaire dans la lutte contre la surconsommation. Des actions d’autant plus importantes dans une ville populaire telle que Vernier. Cette mesure qui a des conséquences positives en termes de qualité de vie pour la population et de réappropriation de l’espace public au profit de toutes et tous, ne représente qu’un millième du budget de la deuxième ville du canton. Avec ce coût très faible, la majorité rose-verte aura toute la latitude afin de développer de nouveaux projets citoyens et culturels.

    Le PS et les Vert-e-s de Vernier sont néanmoins inquiets des nombreux témoignages rapportés depuis plusieurs semaines – sur la méthode utilisée lors de la récolte de signatures. En effet, il semblerait qu’une société privée ait été engagée dans l’unique but de récolter des signatures pour ce référendum. En dehors du fait que la rémunération des récoltrices et récolteurs de signatures est choquante, voir illégale, les comportements et les arguments utilisés par ces salariés ont également été considérés comme problématiques par de nombreuses personnes (méthodes agressives, démonstrations fallacieuses voir mensongères, etc.), probablement dans le seul but d’atteindre des objectifs chiffrés. Des militant-e-s ont par ailleurs interpellé le Service des votations et élections (SVE) afin de l’informer de ces faits graves. Les Vert-e-s et les Socialistes de Vernier espèrent que le SVE fera le nécessaire pour s’assurer de la légalité et du respect des pratiques démocratiques de notre canton.

    Les Vert-e-s et le PS Vernier se réservent tous les droits afin que la loi soit respectée. Ainsi, nous sommes plus que jamais persuadé-e-s que tout n’est pas à monnayer, tant l’espace public que le processus démocratique.

    Les partis ne feront aucun autre commentaire jusqu’à la vérification des signatures et de la conformité du déroulement du processus démocratique.

  • Le chèque-famille et la votation du 25 septembre 2022 (Texte ActuVernier – août 2022)

    La rentrée avec le chèque famille

    La rentrée scolaire est là et, avec elle, le chèque- famille, un projet socialiste qui confirme son succès année après année. Depuis la rentrée scolaire 2012, chaque enfant scolarisé de la Ville de Vernier reçoit deux chèques de CHF 50.– à faire valoir pour des activités culturelles et/ou sportives. Cette prestation universelle a été initiée par une motion du Parti Socialiste acceptée en juin 2011. Elle permet de répondre à une préoccupation essentielle du PS Vernier : l’accès à la culture et au sport pour toutes les familles de nos quartiers populaires. Nous sommes particulièrement fiers que des milliers d’enfants puissent s’adonner ainsi à leurs passions plus aisément.

    NON au démantèlement de l’AVS !

    Le projet AVS 21 met une nouvelle fois à contribution les femmes, alors que leurs rentes sont déjà inférieures de près de 40% à celles des hommes. Les femmes qui élèvent seules leurs enfants et les femmes divorcées seront particulièrement exposées avec cette réforme. AVS21 touchera par ailleurs de plein fouet les femmes qui ont des emplois pénibles et des salaires modestes (économie domestique, commerce de détail ou soins). Avec ce projet, les femmes devront trimer un an de plus, alors qu’elles sont déjà victimes d’inégalités salariales !

    NON à la suppression de l’impôt anticipé

    Avec la suppression de l’impôt anticipé sur les obligations suisses, quelques grandes multinationales seront favorisées lorsqu’elles se procureront de l’argent sur le marché des capitaux. Il en résultera au total des pertes fiscales jusqu’à 800 millions de francs par an pour la Suisse, dont environ 500 millions partiront à l’étranger. Au final, c’est une nouvelle fois la population qui devra payer pour ces pertes – soit par l’augmentation des taxes et des redevances, soit par une nouvelle fragilisation des services publics.