Victor Marin, 21 ans, étudiant, s’est engagé au PS

J’ai rejoint le PS il y a un peu plus de trois ans, à l’âge de 18 ans. Ma conscience politique s’est développée au fil des ans. Sont arrivées des révolutions au Proche et Moyen-Orient. Je voyais sur tous les écrans et journaux, des images de peuples rêvant de liberté, de justice et de paix.

Mais ces rêves s’évanouirent le plus souvent dans le sang. Tous ces événements survinrent sur fond de crise économique, qui fut comme un catalyseur pour des idées d’un autre temps.

Ainsi, je me rendis compte que face à tous ces problèmes, la solution n’était pas l’individualisme mais la solidarité. Pas l’exclusion de l’autre, mais le partage. Il faut se rassembler à une époque ou certains souhaitent la division. Exclure l’autre pour sa peau, sa religion, son nom, celui ou celle qu’il aime, sa maladie, son âge, son pays de naissance ou son revenu. Il est tellement plus simple de renvoyer un migrant au bout du monde que de se demander simplement «pourquoi est-il venu jusqu’ici ?». Il existe autant de réponses que d’habitant-e-s sur cette Terre. Une question à laquelle seuls les partis de gauche tentent de répondre. Une question d’humanisme défendue par le PS.

Je suis étudiant et il me semble naturel de donner un peu de mon temps pour défendre une vision du monde plus juste, équitable, humaine et profitable à tous aujourd’hui et demain. Je partage un grand nombre de ces préoccupations avec le PS et ses membres, et pour toutes ces raisons (et plus encore), j’ai décidé de le rejoindre.