Auteur/autrice : PS Vernier

  • Nous préparons les élections municipales 2025 !

    Nous préparons les élections municipales 2025 !

    Nos 19 candidat·e·s se préparent déjà à aller à votre rencontre ! Ce jeudi 21 novembre 2024, elles et ils ont bénéficié des conseils avisés de notre ancienne Conseillère administrative, Gabrielle Falquet, et de l’actuel Maire de Vernier, Martin Staub.

    Avec détermination, elles et ils défendront le programme ambitieux du PS pour notre ville : solidarité, pouvoir d’achat, développement des crèches, accès aux prestations de santé pour toutes et tous, défense de l’environnement, mobilité et sécurité.

  • Le Parti socialiste de Vernier et les Vert·e·s de Vernier ont désigné leurs candidats pour l’élection du Conseil administratif

    Le Parti socialiste de Vernier et les Vert·e·s de Vernier ont désigné leurs candidats pour l’élection du Conseil administratif

    Martin Staub et Mathias Buschbeck partent unis dès le premier tour

    Le Parti socialiste de Vernier et les Vert·e·s de Vernier ont désigné aujourd’hui leurs candidats pour le premier tour des élections au Conseil administratif qui aura lieu le 23 mars 2025. Les deux partis ont décidé de reconduire Martin Staub et Mathias Buschbeck, ainsi que de partir unis dès le premier tour, pour assurer une continuité, une cohérence et un avenir social et durable pour les Verniolan.e.s.

    Martin Staub, élu depuis 2018 à l’exécutif, a mis en œuvre un nombre important d’initiatives qui ont eu un impact significatif sur Vernier depuis le début de la législature en 2020. Il a fortement accru les dotations pour l’aide individuelle, élargi les permanences sociales et facilité l’accès à des conseils juridiques gratuits. Sous son mandat, le soutien à domicile pour les seniors a été étendu avec le programme « Seniors plus », près de 150 places d’accueil préscolaire ont été créées pour répondre aux besoins des familles et les moyens dévolus à l’accueil inclusif ont été augmentés. Martin Staub a par ailleurs fait de la sécurité une de ses priorités, en renforçant les effectifs de la police municipale et en ouvrant un nouveau poste de police.
    «Mon engagement et ma méthode de travail sont d’être toujours dans le concret: la mise en œuvre de vraies solutions, innovantes et efficaces, pour améliorer le quotidien des Verniolan·e·s, avec qui j’ai construit une relation de proximité et d’écoute dont je suis fier. Je suis très fier aussi que Vernier continue d’être un véritable laboratoire social, au plus grand bénéfice de la population. Aujourd’hui sur tous ces aspects, de manière évidente, les résultats sont là», souligne Martin Staub.

    Mathias Buschbeck, élu depuis 2020, a de son côté investi les chantiers de la mobilité, de la durabilité et de l’environnement. La Ville de Vernier, sous son impulsion, a multiplié les efforts pour améliorer la qualité de vie et des espaces publics. Vernier lui doit l’amélioration de la gestion des déchets, des transports publics et de la mobilité douce, la diminution de la consommation d’énergie fossile par l’installation de panneaux solaires, et la lutte contre les nuisances aéroportuaires ainsi que contre les îlots de chaleur par la plantation d’arbres.

    Pilote de la construction du Quartier de l’Étang, premier quartier labellisé SNBS à haute performance énergétique et environnementale, Mathias Buschbeck a également porté le projet pilote d’extinction de l’éclairage public “Vernier rallume les étoiles”, pour sensibiliser et agir contre la pollution lumineuse. 
    «J’ai pu démontrer qu’investir dans la durabilité profite à toutes et tous», explique Mathias Buschbeck. «Notre action génère une meilleure qualité de vie à tous les niveaux pour les habitant.e.s. En défendant nos espaces verts, en favorisant les transports et les énergies à moindre dépense carbone, en renforçant l’accessibilité et l’attractivité de Vernier, de ses commerces et ses infrastructures. Notre avenir se joue sur ces enjeux et c’est pourquoi je veux continuer à les porter haut et fort

    Avec ces désignations, le PS et les Vert.e.s de Vernier réaffirment leur volonté de maintenir une majorité de gauche et de continuer à promouvoir la justice sociale et climatique et le mieux-vivre ensemble, les politiques progressistes, environnementales et de défense du pouvoir d’achat en faveur des familles, de la classe moyenne et des personnes précarisées, qui répondent plus que jamais aux besoins de la population.

    Les deux élus ont défini pour la prochaine législature un programme ambitieux et abouti en faveur des aîné·e·s, de l’emploi des jeunes, du développement de la petite enfance, de l’aménagement de nouvelles pistes cyclables et de la végétalisation des quartiers.

  • Pour des primes abordables ! OUI au plafonnement des primes d’assurance-maladie à 10% du revenu !

    Pour des primes abordables ! OUI au plafonnement des primes d’assurance-maladie à 10% du revenu !

    Alors que les primes d’assurance-maladie ont plus que doublé depuis la fin des années 1990, les salaires et les rentes, dans le même temps, stagnent. Comme les primes d’assurance-maladie ne sont pas calculées proportionnellement au revenu, cette hausse fulgurante ne provoque pas les mêmes conséquences pour tout le monde. En effet, une vendeuse paie autant pour l’assurance de base qu’un cadre. Ce sont donc les bas revenus de la classe moyenne inférieure, les familles, les familles monoparentales et les seniors qui attendent avec angoisse, chaque automne, l’annonce de l’augmentation des primes, qui est inexorable année après année.

    Avec l’initiative d’allègement des primes, les membres du Comité unitaire genevois pour des primes abordables appellent à mettre un terme à cette spirale : les primes d’assurance-maladie sont plafonnées et doivent désormais représenter maximum 10 % du revenu disponible. Passé ce montant, des subsides doivent être accordés et payés par la Confédération à hauteur d’au moins deux tiers (contre la moitié aujourd’hui), le reste étant à la charge des cantons. Le délai d’application est fixé à 3 ans au maximum.

    OUI à plus d’équité sociale dans le paiement des primes

    Lors de l’introduction de l’assurance-maladie obligatoire en 1996, une particularité a été décidée qui a encore aujourd’hui d’énormes répercussions sur le porte-monnaie de la population : la prime par tête, qui est fondamentalement antisociale. Pour toutes les autres assurances sociales, les primes sont financées de manière solidaire soit par les impôts, soit par des cotisations basées sur le revenu — ce qui n’est pas le cas pour les caisses d’assurance-maladie. Cela signifie qu’une professeure de droit célibataire paie exactement la même prime qu’un infirmier élevant seul ses enfants. Avec l’initiative d’allègement des primes, nous cherchons à rétablir une certaine équité sociale au sein d’un système fondamentalement injuste.

    OUI à la fin de différences intercantonales absurdes et injustes

    Les cantons économisent toujours davantage sur le dos de la classe moyenne : par rapport à la population, la moitié des cantons dépensent aujourd’hui moins d’argent pour les réductions de primes qu’il y a dix ans. Parmi les cantons, les différences sont parfois abyssales. Par exemple, à Fribourg, une famille de quatre personnes avec deux mineur-es et un revenu brut de 80’000 francs doit aujourd’hui consacrer plus de 12,7 % de son revenu brut, soit 10’122 francs, au paiement de ces primes d’assurance-maladie. Si elle habite dans le riche canton de Zoug, la même famille doit consacrer seulement 5,2 % de son revenu brut, soit 4’177 francs, aux primes. Dans ce canton de Suisse centrale, une famille qui dispose d’un revenu brut qui va jusqu’à 140’000 francs peut bénéficier d’une aide de l’État. Les membres du Comité unitaire genevois pour des primes abordables appellent à mettre un terme à ces disparités en votant OUI à l’initiative fédérale d’allègement des primes.

    OUI à la fin d’une médecine à deux vitesses dictée par les primes élevées

    Le poids des primes incite les ménages à faire des choix qui vont contre leurs intérêts en matière de santé. De plus en plus d’assuré-es choisissent la franchise la plus élevée, car elles et ils peuvent ainsi réaliser des économies. Aujourd’hui, la franchise moyenne choisie est de plus de 1200 francs. Dans ce cas, on constate que nombre de personnes ne consultent pas un médecin lorsqu’elles sont malades, faute de pouvoir payer la part de la franchise à leur charge, la santé devenant hors de prix. De plus, près de 4 milliards de francs sont directement payés par les ménages pour les médicaments et les biens de consommation (par ex. masques, pansements, bandages). Au total, toutes les dépenses assumées personnellement par les assuré-es s’élèvent désormais à près de 19 milliards de francs par an — et elles ont fortement augmenté au cours des dernières années.

    Pour toutes ces raisons, il est urgent de réduire le poids des primes dans le budget des ménages. Les membres du Comité unitaire pour des primes abordables, une large coalition composée de partis, syndicats et associations, appellent donc à voter un grand OUI à l’initiative d’allègement des primes, soumise au vote le 9 juin.