Actualités

  • Langue de bois à Givaudan

    Langue de bois à Givaudan

    Question écrite de Martin Carnino, conseiller municipal du Parti Socialiste de Vernier (fichier .pdf)

    Je remercie tout d’abord notre Maire d’avoir transmis rapidement mon interpellation du 5 septembre 2017 à l’Entreprise Givaudan, par courrier du 13 septembre. Dans la réponse que l’entreprise lui a donnée le 5 octobre dernier, on peut avoir un magnifique exemple de langue de bois ! En effet, M. Dominique Legivre, Directeur du Site de Vernier déclare: « A l’heure actuelle, en ce qui concerne le site de Vernier, nous ne savons pas quelles seront les conséquences sur l’emploi (…) » et ajoute plus loin: « Bien évidemment, dès que nous aurons
    davantage d’information, nous ne manquerons pas de vous tenir informés ».

    Or, on apprend dans une déclaration faite à la Tribune de Genève de ce matin par le porte-parole de Givaudan, que la décision est prise d’effectuer près de trente licenciements à Vernier ! On apprend également que l’entreprise s’est réunie avec les 66 employés concernés par ces mesures au cours du mois d’octobre, mois au cours duquel elle avait déclaré ne pas savoir quelles seraient les conséquences sur l’emploi à Vernier.

    Ainsi, non seulement l’entreprise a dissimulé derrière un rideau de fumée ce qui était en train de se passer à la commune, mais en plus, d’après l’article de la TDG, elle essaye d’éviter la mise en place d’un plan social, en effectuant moins de trente licenciements, chiffre au-delà duquel la loi l’oblige à prévoir un plan social.

    On ne peut pas dire que l’attitude de cette entreprise soit très transparente ni respectueuse à l’égard de la commune où elle a vu le jour. Et on ne peut que partager le titre de l’article du journal (Givaudan maigrit à Genève et grossit ailleurs), qui met en évidence que l’entreprise ne met plus la priorité sur le site verniolan, mais préfère se développer à Zurich, en Chine, en Hongrie ou encore au Mexique ou Singapour.

    Dans ces circonstances, j’aimerais savoir :

    1. Est-ce que la commune a été mise au courant de ces licenciements autrement que par la presse?
    2. Est-ce qu’il est possible que le nombre de licenciements soit inférieur à 30, alors que l’article parle de 66 personnes concernées?
    3. Est-ce que les conditions de ces licenciements sont respectueuses du cadre légal en matière de loi du travail?
    4. Qu’est-ce que l’entreprise a fait à ce jour pour informer, aider ou conseiller ces personnes qui ne sont visiblement pas responsables de la décision unilatérale et discutable de leur employeur?
    5. Est-ce que la commune peut faire quelque chose pour informer, conseiller ou aider ces personnes dans leurs démarches suite à leur licenciement?

    Martin Carnino
    Conseiller municipal

  • Soutenons la petite enfance !

    Le Parti socialiste soutient la Résolution municipale (R 261) visant à prélever une contribution supplémentaire de 2 % sur le prix des pensions payées pour la garde des enfants. Contribution modeste de quelques francs par mois au plus, en fonction des moyens, combinée à un investissement des SIG. Cette somme servira à améliorer la prise en charge des enfants à besoins spécifiques (près de 20 % des enfants accueillis).

    Depuis 2013, le service de la petite enfance a bénéficié d’une aide financière exceptionnelle octroyée par une fondation genevoise privée. Convaincue de l’importance de ce dispositif de soutien aux enfants, cette fondation a renouvelé cette aide exceptionnelle. Cependant, ce financement touche aujourd’hui à sa fin, alors que les besoins demeurent nombreux. Il fallait agir.

    Le Canton de Genève est en train de travailler à l’attribution spécifique de ressources dédiées aux enfants qui ont des besoins particuliers. Ce processus renforce notre conviction que nous répondons aux besoins des enfants et de leur famille, mais que nous devons aussi anticiper leur financement dans l’attente du soutien cantonal à venir.

    Nous ne pouvions pas laisser tomber des enfants et des familles qui ont besoin de soutien. En outre, ce système de prise en charge inclusif profite à tous les enfants et à la collectivité entière par une intervention précoce. Il améliore la qualité du vivre ensemble et prévient l’exclusion.

    Par un engagement majeur de tous les partenaires (familles, service de la petite enfance, psychologues), nos enfants auront l’occasion de faire leurs premiers pas et de vivre dans une société qui défend des valeurs de respect mutuel et de solidarité.

    Le Parti socialiste soutien ainsi pleinement une politique de la petite enfance volontariste, solidaire et efficace !

  • Sécurité à Vernier: des efforts qui paient!

    Sécurité à Vernier: des efforts qui paient!

    Dans son dernier rapport sur l’état de la Sécurité à Genève, (Diagnostic local de Sécurité 2016), la Police cantonale, statistiques à l’appui, montre que la Ville de Vernier à l’un des taux de criminalité les moins élevés du canton! En dix ans, le nombre de délits a même diminué de moitié en ce qui concerne la petite et moyenne criminalité. Quant au sentiment d’insécurité, il baisse lui aussi de près de 10% auprès de la population.

    Ces chiffres sont évidemment à mettre au crédit de notre système de sécurité, porté par notre magistrat Thierry Apothéloz, et qui comprend non seulement la coordination des actions conjointes de la Police municipale et cantonale, mais également les nombreuses actions de prévention menées par les travailleurs sociaux et les Correspondants de Nuit.

    Selon l’adage: «un terrain occupé est un terrain sécurisé», la politique menée par notre conseiller administrative montre des résultats clairs! N’en déplaise à ceux qui font de l’insécurité (supposée) leur fonds de commerce politique…

    Elections 2018: les socialistes de Vernier à vos côtés !

    2018 approche à grands pas, et les socialistes de Vernier candidat-e-s aux élections cantonales redoublent d’efforts pour mener campagne au plus près des préoccupations de la population! Ils et elles méritent votre confiance!
    Pour le Conseil d’Etat: Thierry Apothéloz avec Anne Emery Torracinta et Sandrine Salerno
    Pour le Grand Conseil, 51 candidat-e-s dont: Marko Bandler, Martin Staub, Maria Gaulin, Denis Chiaradonna, Gladys Acosta Brandrup, Leutrim Hebibi, Jean-Pierre Tombola.