Catégorie : Vernier

  • Martin Staub candidat à l’élection partielle au Conseil administratif

    Martin Staub candidat à l’élection partielle au Conseil administratif

    Le Conseiller municipal et député suppléant socialiste Martin Staub est candidat à l’élection partielle au Conseil administratif en remplacement de Thierry Apothéloz.

    C’est au Lignon que l’Assemblée générale du Parti socialiste de Vernier a désigné le 8 juin 2018 Martin Staub comme candidat à l’élection partielle au Conseil administratif de Vernier.

    L’avocat de 34 ans a obtenu une large majorité de 40 voix contre 7 contre le conseiller municipal Junior Mazolo.

    Avec ce choix, le parti socialiste part uni et motivé pour conserver le siège de Thierry Apothéloz, élu au Conseil d’Etat.

    Enfant de la commune, Martin Staub est entré au Conseil municipal en 2013. Il a été réélu en 2015. Il a été président du Conseil municipal de juin 2016 à mai 2017. Il est titulaire du brevet d’avocat, diplômé de sciences politiques de l’Université de Genève et en politiques publiques de la University college of London. En plus de ses mandats électifs et de son métier d’avocat, Martin Staub siège au conseil de fondation de la Fondation HBM Emile-Dupont.

    Enrichi de ses expériences tant professionnelles, personnelles que politiques, Martin Staub est convaincu de pouvoir apporter des solutions audacieuses et innovantes aux défis qui attendent la commune les prochaines années.

    Fort du soutien de sa section et de ses militant-e-s, il est déterminé à mener une campagne de terrain, de tous les instants, afin de l’emporter le 14 octobre 2018.

    Homme de dialogue, socialiste convaincu et ouvert, Martin Staub saura répondre aux souhaits des Verniolan-e-s d’un Conseiller administratif proche des gens, constructif et efficace.

     

  • « M. Maudet, démontrez aux habitant.e.s de Vernier qu’ils comptent pour vous! »

    « M. Maudet, démontrez aux habitant.e.s de Vernier qu’ils comptent pour vous! »

    Cher Monsieur Maudet,

    Bravo pour votre réélection au Conseil d’État dès le premier tour.

    Je voulais vous poser une question. Vous avez entendu parler d’Aïre ?

    Aïre, non, pas Aire-la-Ville, Aïre, Monsieur Maudet. Si, si, vous connaissez, c’est l’endroit où vous désirez placer des détenus en fin de peine. Vous ne situez pas ? Mais, si, ces bâtiments désaffectés léchant le Rhône, endroit parfait pour un lieu culturel.

    Non, ça ne vous rappelle toujours rien ? Si. M. Maudet. Aïre, quartier, principalement de villas, de la commune de Vernier, deuxième commune du canton.

    photo Tribune de Genève

    Vous situez maintenant ?

    Donc, voilà, vous cherchez, M. Maudet, à placer des détenus en fin de peine à Aïre, dans un lieu qui aurait pu (dû ?) accueillir un lieu culturel.

    Nimby les Verniolan-e-s ? Ne participant pas à l’effort collectif ? Ne donnant pas une deuxième chance aux détenus ?

    Non. M. Maudet. Vernier a toujours répondu présent quand il s’est agi de participer au bien-être des Genevois-es.

    Genève a besoin d’énergie ? Vernier accueille les citernes de pétrole.

    Genève a besoin d’un aéroport ? Vernier accepte de subir le bruit des avions.

    Genève ville d’accueil ? Vernier accueille un des plus grands centres d’accueil de migrants en Suisse et bientôt un centre pour mineurs non accompagnés.

    Genève a besoin de logements ? Vernier permet la construction de milliers de logements, quand d’autres communes refusent.

    Genève ne sait où faire aboutir ses égouts ? Vernier abrite la plus grande station d’épuration du canton.

    Genève désire ouvrir de nouveaux lieux culturels ? Vernier est négligé et ignoré.

    M. Maudet, vous manquez une opportunité unique, celle de permettre à Genève, à Vernier de développer un lieu dédié à la culture dans un environnement unique.

    Vernier a un magnifique programme culturel. La commune a aussi réussi à développer des programmes dans lesquels les habitant-e-s participent à des projets concerts.

    Imaginez donc un lieu culturel qui combinent créations originales et participation de la population.

    Ce serait l’occasion de démontrer que Genève considère que la culture peut exister en dehors de son centre, que les communes suburbaines peuvent y participer.

    Finalement, M. Maudet, vous démontreriez aux Verniolan-e-s que leur commune est considérée également quand il s’agit de mettre en place des projets positifs et innovants.

    Les habitant-e-s d’Aïre, les habitant-e-s de Vernier s’assureront que vous puissiez les situer sur une carte, car ils se battront pour obtenir ce lieu de culture. Ils se battront afin que vous ne transformiez pas une occasion unique en un centre de détention.

    Encore bravo pour votre élection.

    Bien à vous,

    Martin Staub
    Député suppléant élu, conseiller municipal à Vernier

  • Couper dans la formation ou la recherche pour financer des routes: NON!

    Couper dans la formation ou la recherche pour financer des routes: NON!

    Les Socialistes genevois appellent à voter NON à la création d’un Fonds pour les routes nationales et pour le trafic d’agglomération ( FORTA ), car ce projet est déséquilibré et entraînera des coupes massives dans les prestations à la population.

    Aujourd’hui, au niveau national, il existe un Financement spécial pour la circulation routière ( FSCR ) qui est alimenté par 50 % du produit de l’impôt sur les huiles minérales ainsi que par la totalité du produit de la surtaxe sur les huiles minérales et de la vignette autoroutière.

    Les Socialistes ne s’opposent pas au principe de ce nouveau fonds, puisqu’il était la contrepartie négociée à la création du fonds pour les infrastructures ferroviaires votée en 2014, mais remettent en question son financement. Avec ce fonds, la participation de la Confédération augmente drastiquement. 650 millions de francs seront directement financés par l’Etat et 200 millions proviendront des consommateurs, par une augmentation de 4 cts/litre sur les huiles minérales.

    Un NON pour mieux appliquer le principe du pollueur-payeur

    Le Parti socialiste genevois estime que le principe du pollueur-payeur doit être mieux appliqué en faisant participer les utilisateurs-trices de la route, de manière proportionnée, à l’entretien et l’exploitation des infra-structures routières. Les revenus de la Confédération alloués aux prestations publiquesne doivent pas servir à exonérer les utilisateurs-trices de la route de leurs obligations.

    Pour les Socialistes, il ne fait aucun doute que la majorité de droite du Parlement fédéral profitera de cette modification pour couper dans les budgets alloués à la formation, à la recherche ou encore aux transports publics, raison pour laquelle il faut refuser ce fonds.