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  • Coup de projecteur sur Denis Chiaradonna, candidat au Grand Conseil

    Coup de projecteur sur Denis Chiaradonna, candidat au Grand Conseil

    Denis Chiaradonna
    42 ans, Master en droit, juriste, Conseil municipal, membre des comités ATE-GENEVE, NOMES Je souhaite poursuivre mon engagement au niveau cantonal et apporter la voix des habitant-e-s de Vernier et des communes de la rive droite dans la lutte contre les diverses nuisances, notamment la pollution de l’air, le bruit autoroutier et aérien. Je m’engage pour plus de logements de qualité et abordables, à favoriser les coopératives d’habitations et la participation citoyenne dans les projets urbains. Je m’engage également à lutter contre toutes les discriminations à tous les niveaux : au travail ou à l’école ; à renforcer les services publics en leur donnant les moyens d’offrir à la population des prestations de qualité, faciles et accessibles à toutes et à tous, notamment l’accès aux soins, aux formations, des transports publics performants et abordables, à une police de proximité et une justice efficiente.

    → Toutes et tous les autres candidat-e-s socialistes au Grand Conseil sur http://www.ps-ge.ch/candidats

  • Coup de projecteur sur Jean-Pierre Tombola, candidat au Grand Conseil

    Coup de projecteur sur Jean-Pierre Tombola, candidat au Grand Conseil

    Jean-Pierre Tombola
    52 ans Adjoint administratif/Etat de Genève, Conseiller municipal, Président de la commission environnement, aménagement du territoire et mobilité. Membre des comités Maison de quartier, Ludothèque, Droits politiques pour les résident-e- s à Genève, membre ASLOCA, ATE, Bateau Genève, SRT Genève. Ingénieur ETS, spécialisé et diplômé de recherche, Master en Action humanitaire, je suis proche des gens et attentif à leurs préoccupations. Issu d’une minorité visible, mon parcours atypique riche d’expériences acquises tant à Genève qu’à l’étranger, me permettra d’apporter un nouveau regard au Grand Conseil. Elu, je défendrai les intérêts des genevois et des verniolans. Je m’engage pour plus de justice sociale face aux inégalités croissantes et à la précarité des familles notamment monoparentales. Je me battrai pour plus d’emplois, de places d’apprentissage, le vivre ensemble et la cohésion sociale.

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  • Non à la mort de la radio et télévision publique!

    Non à la mort de la radio et télévision publique!

    Les Socialistes appellent à voter NON, car cette initiative coûtera très cher aux ménages.  Si  « No Billag » est acceptée, la Société suisse de radiodiffusion et télévision (SSR) et les télévisions et radios locales ne seront plus en mesure de fournir une offre de programmes variés, en raison des lourdes pertes financières qu’elles subiront.

    Certaines d’entre elles viendront même à disparaître. Les fans de Roger Federer ou d’une équipe de foot ne pourront plus regarder un match de leur(s) champion(s) favori(s) sur la télévision publique. Ils-elles devront payer un, voire plusieurs, abonnement annuel à des chaînes privées, qui leur coûtera beaucoup plus cher que la redevance publique. Cette initiative reviendra à payer plus pour avoir moins! La redevance reste donc nécessaire pour avoir accès aux prestations diversifiées de la  SSR et de 35 opérateurs régionaux. Il est à noter que dès 2019, celle-ci diminuera d’ailleurs de CHF 86,10. Les foyers paieront seulement un franc par jour pour un contenu de qualité.

    L’initiative détruit la cohésion sociale de notre pays. En coupant les moyens des télévisions et radios régionales, elle porte atteinte à la diversité de la Suisse. Privées de financement suffisant, les territoires périphériques n’auront plus la possibilité d’émettre des programmes présentant la richesse de nos 4 régions linguistiques. Cela reviendra à appauvrir l’offre et à renoncer à la mise en valeur de notre patrimoine culturel. De plus, la SSR devra licencier massivement. Des milliers de personnes, qui travaillent quotidiennement à faire vivre ces médias, se retrouveront au chômage.

    L’initiative s’attaque également à la culture, car elle favorise l’arrivée sur le marché de prestataires commerciaux intéressés uniquement aux profits et à la course à l’audimat. Il est à craindre que les programmes culturels soient abandonnés et remplacés par des programmes racoleurs plus rentables. C’est aussi un danger pour la démocratie, car il existe un fort risque que l’information soit manipulée à des fins politiques par des patrons de chaînes multimillionnaires ayant des intérêts privés à soutenir certains lobbies (assurances maladie, groupements politiques, etc.), comme c’est le cas aux USA où les dérives sont nombreuses. L’indépendance des médias risque donc d’être remise en cause, déstabilisant durablement l’équilibre démocratique de notre pays. Sans la redevance et l’obligation légale de fournir des prestations à toutes et tous les citoyen-ne-s, la SSR perdra ce qui fait sa force et sa qualité en tant que prestataire d’un service public.

    Parce que cette initiative aura un coût beaucoup trop élevé, tant au niveau financier pour les ménages, qu’au niveau politique et économique, les Socialistes vous invitent à la rejeter.